Bahamas, Tome 3 : Un paradis perdu
Octobre 1872, à Soledad, Une île de l'archipel des Bahamas, propriété de la famille Cornfield depuis le xviie siècle. L'ingénieur français Charles Ambroise Desteyrac, arrivé en 1853 pour édifier un pont, n'en est jamais reparti. Occupé à la construction d'un phare, il vieillit auprès de lady Ottilia. Les événements historiques, proches ou lointains, ont des répercussions sur la vie des îliens : en 1898, la guerre hispano-américaine provoque une émigration cubaine ; la Première Guerre mondiale envoie des insulaires combattre en Europe ; la prohibition fait la fortune de l'archipel. Et les ouragans apportent leur lot de destructions et de misère... Après l'immense succès des séries romanesques Louisiane et Helvétie, Maurice Denuzière a entrepris, avec Le Pont de Buena Vista et Retour à Soledad, une nouvelle trilogie, Bahamas. Un paradis perdu, troisième et dernier volet de cette chronique, nous conte l'américanisation insidieuse d'une île paradisiaque. Maurice Denuzière, grand reporter devenu écrivain, best-seller international avec Louisiane, a publié une trentainecinq gros romans de la série Louisiane, les quatre volumes de la série Helvétie et les trois tomes de la série Bahamas font qu'il est considéré comme l'un des maîtres du roman historique.
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