Carte géographique et touristique de la Mongolie - Plan et vue satellite de la Mongolie
Mongolie, en mongol Mongol Uls, pays d’Asie centrale. Sa capitale est Oulan-Bator. La Mongolie est limitée au nord par la Russie et à l’est, au sud et à l’ouest par la Chine.
Cette carte simplifiée de la Mongolie inclut
la capitale Oulan Bator et les
grandes villes, les fleuves et rivières, les éventuels lacs, mers intérieures et
iles. La carte présente le cadrage géographique permettant de situer Mongolie
par rapport à ses espaces voisins, notamment les frontières
avec les pays limitrophes ce qui permet une représentation
succincte du contexte géopolitique. La carte, qui inclut le
drapeau national, comporte un repère d'échelle en km
permettant d'évaluer les distances entre les principales
villes et de mesurer l'étendue de frontières.
Pour plus de détails (carte en relief, réseau routier,
image satellite et plan des villes), voir la carte Google
Maps ci-dessous
Carte de situation géographique de la Mongolie
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Plan de ville et images satellite de la Mongolie
Relief, hydrographie, faune et flore et ressources naturelles de la Mongolie
Relief
La Mongolie a une superficie totale de 1 566 500 km². Son territoire couvre les hautes plaines et les chaînes montagneuses qui font écran entre la Sibérie et la Chine, de l’Altaï au massif du Grand Hinggan, sur près de 2 000 km d’ouest en est. Du nord au sud, la largeur moyenne de la Mongolie est de 800 km. L’altitude varie entre 1 000 et 2 000 m sur les trois quarts du pays. Le point le plus bas se situe à 552 m et les monts de l’Altaï culminent à 4 620 m. Le désert de Gobi recouvre les vastes régions du Centre et du Sud-Est. La Mongolie a une superficie totale de 1 566 500 km². Son territoire couvre les hautes plaines et les chaînes montagneuses qui font écran entre la Sibérie et la Chine, de l’Altaï au massif du Grand Hinggan, sur près de 2 000 km d’ouest en est. Du nord au sud, la largeur moyenne de la Mongolie est de 800 km. L’altitude varie entre 1 000 et 2 000 m sur les trois quarts du pays. Le point le plus bas se situe à 552 m et les monts de l’Altaï culminent à 4 620 m. Le désert de Gobi recouvre les vastes régions du Centre et du Sud-Est. Au nord-ouest, la Mongolie montagneuse présente une alternance de chaînes et de dépressions intérieures s’écoulant vers des lacs (lac Oubsou), les autres courants vers la mer par les vallées des fleuves sibériens. L’Altaï forme un arc et donne une frontière naturelle à la Mongolie. Au milieu se dressent les monts Khangaï, massif de 700 km de long et principal réservoir hydrographique du pays. Le désert de Gobi forme une dépression, un plateau affaissé depuis des millénaires, correspondant à la moitié orientale de la Mongolie. Il comporte une série de bassins, les talas, qu’encadrent de petites crêtes. À l’intérieur des talas on trouve des cuvettes plus petites, caillouteuses ou sablonneuses, les gobis, formations caractéristiques qui ont donné leur nom à la contrée la plus déshéritée du pays. Une intense érosion éolienne empêche, en certains endroits, toute végétation.
Hydrographie
Le réseau hydrographique est exclusivement périphérique et circonscrit aux systèmes montagneux du Nord. La Selenga, alimentée par les glaciers du Khangaï, et son affluent l’Orkhon gol forment le bassin hydrographique le plus important (282 000 km2). Leurs eaux se mêlent à proximité de la frontière russe et sont tributaires de l’Arctique par le lac Baïkal. À l’est, un sous-affluent de l’Amour, l’Onon, draine quelques vallées. Le bassin du Keroulen aboutit au Dalai nor, en territoire chinois. La plus grande partie de la Mongolie relève d’un drainage purement endoréique. L’Ouest montagneux est la région des grands lacs comme le Khoubso (2 600 km à 1 624 m d’altitude), l’Oubsa, le plus grand de Mongolie (3 350 km2), le Kara-Ousou et l’Hövsgöl qui occupent les dépressions entre les massifs montagneux. Dans le Gobi, les cours d’eau, rares et irréguliers, se perdent dans les sables et donnent quelquefois naissance à des étangs saumâtres lors de la saison humide.
Flore et Faune
L’action du vent et les écarts de température ont érodé les sols. Sur le versant nord du Khangaï, la forêt a retenu les sols enrichis d’humus. Ailleurs, ils sont pauvres. Le vent, en emportant les sols, a formé le lœss de la Chine et dénudé la Mongolie centrale. La prairie et la steppe occupent la plus grande partie du territoire. La steppe aride recouvre 27% des sols, la prairie herbeuse 26% et la prairie mêlée à la forêt 25%. Les graminées y prédominent naturellement avec, au sud, des plantes médicinales, comme la jusquiame, la valériane et la badiane. Concentrées au nord, les forêts ne couvrent que 6,5% du territoire. On y rencontre des essences telles que les conifères, le mélèze, les pins et les cèdres de Sibérie. En limite des prairies apparaissent les feuillus : bouleau, peuplier et saule. La prairie, la steppe et le désert occupent les 18% restants. La Mongolie possède une faune très particulière qui comprend des espèces comme l’havtgaï ou chameau sauvage, le taki (l’hémione), l’âne sauvage et le célèbre cheval de Przewalski, la plus ancienne espèce équidée connue. Les yaks, les antilopes, les renards et les ours sont encore nombreux.
Ressources Naturelles
Le territoire de la Mongolie est recouvert à 80 % par la steppe, une formation végétale basse notamment utilisée comme lieu de pâture pour le bétail. La steppe est l'une des principales ressources naturelles du pays, qui compte des millions de têtes de bétail (chèvres et chevaux principalement). Ces immenses plaines sont soumises à un rude climat caractérisé par des hivers secs et froids.
Nansal, une gamine de six ans, est l'aînée d'une famille de nomades du Nord de la Mongolie. Un jour, elle ramène chez elle un chien abandonné, mais son père pense qu'il va leur porter malheur et veut qu'elle s'en débarrasse. Nansal tente de le cacher, mais le jour où la famille déménage, elle doit abandonner le chien...
Les " fils du vent " refusent les bornes et les normes, sinon celles de la nature. Chérissant les vastes étendues de leur pays, ils portent l'immensité dans leur âme. Ils coulent sur leurs pistes comme les fleuves dans leurs lits. Ils courent comme leurs chevaux, leurs chameaux, ou leurs rennes à travers les grands espaces. Aux abords de la taïga, dans les steppes, dans la " mer sèche " (le désert de Gobi), dans leurs montagnes, voyager est un état d'esprit. Certes, la liberté, le dépouillement, la beauté âpre et sauvage de ces régions demandent du courage. Entre +40° et -40°, leur univers n'est pas tendre. Mais le vent leur insuffle la vie, il les emporte, ils le suivent ou y résistent, quand de caresse il devient gifle. Pourtant, ils semblent heureux, animés par leur passion brûlante comme les braises du foyer dans leurs yourtes protectrices, fidèles compagnes de leurs transhumances. Patrick Bernard et Ken Ung consacrent leur existence à la découverte, la connaissance, la reconnaissance et la défense des peuples des origines. Ils sont allés à la rencontre de diverses familles mongoles, dont ils ont su gagner la confiance et la sympathie. Ils nous racontent, témoins vigilants d'une humanité oubliée, la vie des derniers nomades dans un monde en voie d'uniformisation.
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