Carte géographique et touristique de l'Arabie Saoudite - Plan et vue satellite de l'Arabie Saoudite
L’Arabie saoudite est un pays du Proche-orient qui occupe l’essentiel de la péninsule Arabique. Environ 98 % du territoire de l’Arabie saoudite sont désertiques ou semi-désertiques. Grâce à l’exploitation de ses immenses ressources pétrolières, le pays est pourtant l’un des plus riches au monde.
Cette carte simplifiée de l'Arabie Saoudite inclut
la capitale Riyad et les
grandes villes, les fleuves et rivières, les éventuels lacs, mers intérieures et
iles. La carte présente le cadrage géographique permettant de situer Arabie Saoudite
par rapport à ses espaces voisins, notamment les frontières
avec les pays limitrophes ce qui permet une représentation
succincte du contexte géopolitique. La carte, qui inclut le
drapeau national, comporte un repère d'échelle en km
permettant d'évaluer les distances entre les principales
villes et de mesurer l'étendue de frontières.
Pour plus de détails (carte en relief, réseau routier,
image satellite et plan des villes), voir la carte Google
Maps ci-dessous
Carte de situation géographique de l'Arabie Saoudite
Boutique des cartes géographiques et touristiques de l'Arabie Saoudite
Plan de ville et images satellite de l'Arabie Saoudite
Relief, hydrographie, faune et flore et ressources naturelles de l'Arabie Saoudite
Relief
L’Arabie saoudite a une superficie comprise entre 1 750 000 km2 et 2 200 000 km2, selon les estimations (en fonction des frontières choisies). 98 % du territoire est désertique ou semi-désertique. Au nord et au sud s’étendent deux grands désert : le Néfoud (les « sables » en arabe) et le Ar Rub‘ al Khali (Quartier vide, en arabe). Une plaine côtière, large de 70 km, longe la mer Rouge. Elle est bordée par la barrière montagneuse du Hedjaz, que l’Asir (inaccessible, en arabe) prolonge au sud. Le Hedjaz, d’une altitude moyenne de 1 200 m, culmine à 3 133 m. Les Îles Tiran se trouvent dans le détroit de Tiran, à l'entrée du golfe d'Aqaba. Situé à l'extrémité nord-est de la mer Rouge, le golfe sépare la péninsule du Sinaï, en Égypte, de l'Arabie saoudite. Ces petites îles comptent parmi les nombreuses barrières de corail de la Mer Rouge. Le plateau du Nedjd, d’une altitude moyenne de 1 000 m, occupe le centre du pays entre les deux déserts du Néfoud et du Ar Rub‘ al Khali, il est recouvert par une steppe pauvre. À l’est, longue de 500 km en bordure du golfe Arabo-Persique, la plaine d’Hassa renferme d’importants gisements pétroliers.
Hydrographie
Quelques wadis (cours d’eau) asséchés, excepté pendant la saison des pluies, traversent le plateau central. Les principaux sont le Dawassir, au sud, qui relie le pays au Yémen, le Al Runmah et le Hanifa au centre du pays.
Flore et Faune
Du fait de l’aridité générale, la végétation n’est pas abondante. Divers arbres fruitiers, notamment le dattier, et une grande variété de céréales et de légumes poussent dans les oasis et dans les autres régions qui disposent d’eau. La présence de nappes phréatiques a permis d’irriguer certaines régions. Parmi la faune locale figurent les hyènes, les renards, les chats sauvages, les panthères, les loups, les gazelles, les antilopes, les bouquetins ainsi que les autruches, les outardes et les cailles. En raison de la chasse qui est un sport national, l’autruche a disparu, et l’antilope oryx est en voie de disparition.
Comme beaucoup de ses compatriotes, Ismaïl, un jeune diplômé égyptien, a quitté son pays pour l'Arabie saoudite, nouvel Eldorado, où se pressent une multitude d'immigrés venus de tous les pays musulmans - y compris non arabes - et la cohorte des hommes d'affaires occidentaux. En ce lieu qui lui est à la fois étranger et familier, Ismaïl découvre peu à peu les règles de l'exil consenti et la cruelle réalité d'un univers où l'arrogance des puissants ne rencontre que la servilité de ces déracinés venus là pour vendre leur propre vie au profit de ceux qui, restés au pays, confisquent leur existence et les bannissent peu à peu de leur propre histoire. Inaugurant une approche radicalement nouvelle de la littérature de l'émigration, Ibrahim Abdel-Méguid retrace, à travers l'histoire d'Ismaïl, l'aventure de ces millions d'individus pris au piège du rapport équivoque qui lie les nations riches et pauvres, en particulier dans le monde arabe. Et parce que cette expérience y était évoquée, de l'intérieur et sans concession, pour la première fois, ce roman publié en 1991 fit sensation lors du Salon international du livre du Caire lors de sa parution.
Personne ne va en Arabie Saoudite par hasard ou pour y passer des vacances au soleil. C'est un pays qui fait peur. On lui associe le fantôme de Ben Laden, le terrorisme islamiste, l'opacité, l'étouffement des libertés. Lucie Werther a 27 ans quand elle arrive à Riyad en 2003, venant de France. C'est le choc. Femme, enseignante, elle subit d'emblée - elle l'Occidentale - les contraintes de la loi islamique. Cette vie si déroutante à laquelle elle doit s'adapter, elle la raconte ici au jour le jour, au fil de ses propres expériences, par petites touches faites d'observations précises, de conversations, de rencontres. Elle en rapporte des instantanés illustrés par les photos qu'elle fait en cachette sous son voile, dans la rue, à l'hôpital, au restaurant ou dans l'intimité des femmes saoudiennes. Avec ce journal du détail, l'auteur apporte un témoignage unique, vécu de l'intérieur, qui révèle un monde hermétique et paradoxal.
Plus de guides touristiques, cartes, CD, DVD et livres,... dans la
Médiathèque